L’investissement immobilier locatif est un investissement à la fois solide et à long terme. Pour une rentabilité assurée, votre projet doit être bien bâti que vous choisissez l’option constitution de patrimoine ou d’achat pour location, ou juste la perception de revenus supplémentaires. Votre type de placement dépend entièrement de votre plan selon vos besoins. Pour investir dans l’immobilier et réussir, il y a plusieurs analyses à faire, à travers le guide suivant, vous trouverez des conseils pratiques pour vous aider à déterminer quelles sont les initiatives à prendre pour votre projet immobilier et comment choisir le meilleur investissement immobilier ?
Bien choisir l’emplacement
Pour s’assurer d’un placement rentable dans le marché de l’immobilier, le choix de l’emplacement est un des critères les plus importants à mettre dans sa liste avant d’investir dans l’immobilier. Vous devrez à tout prix vous renseigner sur les caractéristiques et la situation démographique de l’endroit avant de commencer. La première chose à faire pour cette étape est de déterminer la force de la demande en location de la zone géographique. En général, cela concerne les endroits à croissance démographique élevée. Auparavant, cette information a été presque inaccessible, mais grâce au dispositif PINEL c’est devenu plus simple. Sachez que les zones appartenant au dispositif PINEL sont en sous tensions locatives, de ce fait vous pourrez vérifier le dynamisme du secteur. A partir de cette analyse vous pourrez non seulement éviter le vide locatif mais aussi vous assurer d’une rentabilité locative. Il y a aussi l’analyse sur la taille et la répartition démographique de la population de votre emplacement. En effet, le mieux c’est d’opter pour une zone bien peuplée afin de vous éviter la peine de trouver un locataire plus tard. Vous devrez vous poser la question sur la facilité d’accès pour votre choix d’emplacement, cette analyse se rattache à la qualité de vie de la zone car plus c’est facile d’accès plus l’endroit sera plaisant. Les analyses à faire sont nombreuses et complexes, faites vous accompagner par des professionnels pour bénéficier de leur expertise sur www.koregraf.com
Bien élaborer son plan de financement
Pour garantir d’un meilleur investissement immobilier locatif, il faut au tout départ faire un bon plan financier en contractant un prêt immobilier auprès d’une banque ou un organisme de crédit avec un taux intéressant. Vous pouvez aussi choisir d’investir dans la catégorie pierre-papier ou le financement participatif immobilier également appelé crowdfunding immobilier. Dans ce type de placement vous investissez dans un programme immobilier pour devenir copropriétaire d’un futur projet locatif, vous pourrez trouver de telles offres sur des plateformes du web. Par ailleurs, pour travailler tout seul, l’emprunt est tout de même le plus profitable pour un investissement immobilier locatif surtout lorsque votre projet est plus étendue, afin d’user parallèlement d’un grand pouvoir d’achat immobilier. Le crédit fait effet de coup de pousse, et c’est aussi une opération gagnante sur le plan fiscal car les intérêts de l’emprunt sont déductibles de l’impôt lorsque vous les déclarez. Le fait d’investir dans l’immobilier peut aussi se financer en espèces, c’est-à-dire : vous achetez le bien et il ne vous restera plus qu’à le louer. Ce cas connaît du succès à condition que vous disposez de fonds nécessaires. N’oubliez pas cependant que vos revenus sont frappés par l’impôt.
Penser aux dépenses engagées
Malgré que le placement immobilier soit un des meilleurs investissements les plus rentables, il engage aussi des dépenses considérables, donc pensez à faire des calculs avant de passer à l’action afin de garantir une rentabilité locative. Il existe plusieurs frais à prévoir dans l’immobilier, il y a des frais dès l’acquisition du bien et pendant l’exploitation du bien tels que: les frais bancaire, les frais de courtage, de prêt, les frais de mutation pour le notaire, les frais d’assurance, les taxes locatives, le coût des travaux d’entretien. Il y a un impact sérieux sur le rendement, une mauvaise gestion peut mettre en péril votre investissement. Le budget à prévoir dépend du bien immobilier dans lequel vous investissez. Sachez qu’il ne se limite pas qu’au prix d’acquisition du bien, il y a d’autres éléments à prendre en compte comme : les droits de mutation, correspondant à 7 à 8 % du prix du bien s’ il s’agit d’un investissement sur un ancien bien ou les frais de notaire dont 3 à 4 % du prix dans le cas où vous optez pour un nouveau local ; le financement du crédit : cela concerne les modalités de remboursement pour le cas d’un financement par emprunt y compris les intérêts, les assurances,... ; les autres frais à part: il y a les charges fixes et les charges variables liées à la gestion de l’immobilier comme celles liées à l’entretien, la taxe foncière, l’assurance Propriétaire Non Occupant,…
Bien sélectionner son locataire
Après toutes ses analyses avant le départ, la dernière étape cruciale pour garantir d’une rentabilité locative est le choix de son locataire, c’est-à-dire de la personne qui va s'occuper de votre logement. Celle qui assurera la perception du loyer à chaque date d’échéance selon votre contrat. Ce choix sera la clé de votre succès. Sachez que vous avez le choix entre le faire louer à une personne physique ou à une société. Ce choix est indispensable afin d’éviter les impayés qui bloqueront votre business ou pour vous éviter toute forme de conflit dans votre business tels que le non respect de la date de paiement du loyer ou sur la façon dont votre local sera entretenu et surtout pour vous éviter les difficultés d’une résiliation de bail. Dans ce cas, vous devrez vous assurer sur les points suivants : les justificatifs de ressources de votre futur locataire, en réclamant les fiches de paie des trois derniers mois par exemple ou une attestation d’emploi, l’exigence de certains propriétaires va même jusqu’au tiers des ressources du locataire. Faites tout de même attention aux faux papiers. Il y a aussi l’évaluation comportementale à mettre en cause pour savoir si c’est un bon payeur et un bon locataire par rapport à son ancien logement. Cependant, la discrimination est interdite.